Chère Causette, chère Pauline Marceillac,
Je suis pédiatre, femme, mère, lectrice. Ce mois-ci, comme parfois, j’ai acheté Causette. Parce que j’en aime bien le ton, le contenu, parfois même les partis pris. Mais ce mois-ci, aussi, il y a un article de quatre pages [1] qui traite d’un sujet que je connais bien.
L’oncologie pédiatrique.
C’est dans cette sur-spécialité que j’ai choisi de me former, depuis maintenant quelques années, à l’hôpital et dans un laboratoire de recherche. J’ai bien sûr déjà entendu parler de Mme Delépine.
Le fond des choses, de son approche, de ses points de vue, je les connais. Ce n’est (presque) pas ça qui me gêne. Mais plutôt l’article que vous avez rédigé en regard.
J’entends bien que le milieu médical, et peut-être encore plus celui de la recherche clinique, peuvent paraître obscurs. Je constate malheureusement que vous ne donnez absolument pas au lecteur/à la lectrice les clefs pour mieux Lire la suite