Après que Boutonnologue nous a raconté comment elle a sauvé une rhinite, l’économie française, et le monde, avec du Ciflox®, on se sent tout petit petit.
Mais il existe un avantage non négligeable à cela : si ce que j’écris vous semble fade, je pourrai toujours m’en sortir avec l’excuse que c’est de sa faute à elle, parce que maintenant que vous êtes habitués à ça :
on ne pourrait pas complètement vous en vouloir d’avoir du mal à vous passionner pour ce qui va suivre :
Je vais donc tenter ma chance avec : la maladie de Parkinson (tadaaaam !)
Comment introduire ce sujet ?
Pour les neurologues qui aiment ça (et j’en suis), c’est un peu l’équivalent de l’herbe à chat pour les félins : on peut passer des heures à se rouler dedans sans se lasser. La raison est simple : ça englobe toute la neurologie possible et imaginable. Il y a des circuits bien compliqués, des termes bien greco-latino-klingons, et des examens purement cliniques particulièrement subtils ! En revanche pour les autres neurologues, en particulier pour les neurovasculaires, c’est la punition ultime. Je vais donc tenter de vous démontrer qu’ils ont tort comme à leur habitude.
Pour vous prouver que, nous autres neurologues, sommes des êtres cultivés (et pour vous permettre ni vu ni connu de Lire la suite